Communiqué de presse Guggenheim Bilbao
Le Musée Guggenheim Bilbao présente avec Ernesto Neto: le corps qui m’emporte, une rétrospective unique consacrée à l’oeuvre du Brésilien Ernesto Neto (Rio de Janeiro, 1964), figure de la création contemporaine, mondialement célèbre pour ses sculptures organiques, souvent de dimensions colossales, comme l’énorme installation Le corps féminin qui tombe (de Léviathan Thot ) [O corpo que cai (Le corps) fêmea (de Léviathan Thot), 2006].
L’exposition, qui bénéficie du parrainage d’Iberdrola, réunit une sélection d’une cinquantaine de pièces créées entre les années quatre-
Exposition du 14 février au 18 mai 2014. Guggenheim Bilbao, Abandoirra et.2 -
Au cours de quasiment trente années de production, Neto a accumulé un immense inventaire de travaux, qui vont de dessins délicats aux installations de grandes dimensions. Ce sont des œuvres créées pour les traverser, les habiter, les ressentir et même les sentir, pour que le spectateur soit en interaction avec elles, expérimente son propre corps et ses sens, sans pour autant perdre de vue le fait qu’en même temps elles sont, comme le corps humain, fragiles et délicates.
Démarrant dans l’Atrium et se poursuivant au deuxième étage du Musée, ce parcours unique dans l’univers magique de l’artiste plonge le visiteur dans un jeu de stimuli sensoriels et de suggestions visuelles, tactiles et olfactives qui l’invitent à s’échapper du quotidien et à expérimenter avec tous ses sens chacune des pièces. Comme l’affirme Ernesto Neto, une exposition est un lieu pour la poésie : “Nous recevons constamment de l’information, mais ici je veux que nous cessions de penser. Nous réfugier dans l’art. Je crois que ne pas penser est bon, c’est respirer directement de la vie ”.
Neto transforme l’expérience de l’art en un évènement multisensoriel et interactif qui nous invite à nous plonger dans nos sensations. Comme résultat d’une étroite collaboration avec l’artiste brésilien, jamais auparavant les formes louvoyantes et organiques de l’architecture de Gehry ne s’étaient mieux fondues avec un travail en permanence sous-
Divisé en neuf espaces (« Pourquoi retournes-
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