Communiqué de presse
La Renaissance Society présente la première exposition personnelle aux Etats-
Les explorations de la communauté, du paysage, de la liberté et des flux sont au centre de la pratique de Rivers. Travaillant dans les deux formats long et court-
Urth tire son titre du vieux mot norrois évoquant les fils torsadés du sort, tels que cités par le philosophe Timothy Morton dans son livre récent, Dark Ecology. Les films de l'exposition partagent un intérêt pour les utopies -
Pour cette exposition, la Renaissance Society a commandé à Rivers la production d’un nouveau film, également intitulé Urth, qu’il a tourné à la Biosphère 2 en Arizona. Méditation cinématographique sur des expériences ambitieuses, des environnements artificiels et des visions de l'avenir, cette nouvelle œuvre imagine un scientifique vivant seul dans un écosystème expérimental. Dans une voix-
Deux films précédents de Rivers explorent de manière similaire la relation entre les humains et le monde naturel et construit.
La première monographie sur le travail de Rivers, Ways of Worldmaking, sera publiée à l'automne 2016 par Kunstverein à Hambourg, Camden Arts Centre, Triennale di Milano, et la Renaissance Society. L’ouvrage comprend de nouveaux essais de Melissa Gronlund, Ed Halter et Andrea Picard aux côtés de nombreuses images de films et de textes de Rivers par Robert Pinget, Renee Gladman et Henri Michaux, entre autres.
Commissaire d’exposition : Solveig Øvstebø.
Exposition du 10 septembre au 6 novembre 2016. The Renaissance Society at The University of Chicago, Cobb Hall, 4th Floor , 5811 S. Ellis Ave -
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Ben Rivers, Urth, 2016. Production still. Courtesy of the artist and Kate MacGarry, London